Pas des ouvrages d'art, mais de simples ouvrages qui canalisent la rivière. Ces vannages évitent l'anarchie tourbillonnante d'une eau qui ne songe qu'à s'échapper, en hiver, de son lit creusé depuis quelques siècles. En pays proustien, le vannage canalise un petit bras qui ondule au travers d'un parc surplombé de petits ponts de bois. En été, par temps pluvieux, le débit de l'eau est satisfaisant. Quand il fait se, on s'envase avec les nénuphars et les algues. Les poissons sont toujours là en Haute Vallée du Loir.